Conçu par des scientifiques de l’Imperial College de Londres entre 1999 et 2001, Bloodbot commence par palper votre bras. Lorsqu’il trouve une zone moins molle que le reste, il en déduit qu’il a trouvé une veine. Il va alors y planter une seringue, l’enjeu étant bien entendu de ne pas trop appuyer afin de ne pas blesser le patient ! Il mesure à cette fin la résistance de la peau, et lorsque la résistance diminue d’un coup, c’est que la peau est transpercée, et qu’il peut arrêter d’avancer.


Lors des tests, l’équipe explique que le robot a réussi sa mission dans 78% des cas. On plaint les 22% de cobayes restants, qui ont dû se faire planter une aiguille dans le bras un peu n’importe où ou à une profondeur excessive !